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L'âme des arbres...

L'âme des arbres,

 

"Le funanbule s'équilibre à chaque pas" quand l'arbre ancre son âme à l'aurée des vicères de la terre,

A la chaleur d'une densité maternelle nourricière,

Herrer pour s'inspirer, se terrer pour enfanter,

En caresse des jours et étreintes des nuits,

De sa lymphe nait une eau douce en ablution de l'écorse terrestre,

En synchronicité des rimes des songes, il est cet unité,  imperceptible dans cette immensité des possibles,

Quand les embruns de particules dansent aux echos des battements

Ses coulées nourissent ses ressemblances, apaissent ses dissonances,

De cette rumeure vitale nait le poul du monde et ses hasards en confluences,

Immuable, il s'enracine avec humilité,

A effleurer l'alètement universel et ses clartées,

Et pourtant le monde chavire en écho des égos,

Enraciné à la sagesse du temps, il joui de sublime bribes d'éblouissement,

En élan d'espérence, il s'ennivre du  poids de l'insignifiant,

Apatride, il luit des frissons de la brise des jours,

Il n'a d'âge, s'ancre à l'impérissable car les cieux n'ont de rides

Et échappe au plapable sans murmure, sans injure,

Son argile se modèle à la sagesse des jours naissant,

Son écorse détient déjà l'étonnement des lendemains, et ainsi sans fin...

Assoifé des désert des coeurs, il boit l'essence des averces, se réchauffe au creux d'étincelles charnels et pâli du sacrée,

Il se nourir du ravissement d'éternelles étreintes en offrande d'un amour immuable, improbable,

Et pourtant il a trébuché aux délires des mondes

Et pourtant, il a faillit de larmes profondes,

Il abrite les failles des vulnérabilités de l'ardeur de ses entrailles,

Apaise les déchènements en son sein et préserve les cieux de l'abime faillible,

Donnant le jour d'une infime éternité paisible,

Il est poussière et immortelement imprégné de la sève de l'universel

Il défit les défuns d'un palpitant invisible sans frontière charnel

Attendrissant l' immuable de précieux surbresauts l'habitant de fluidité

En trésaillement des profondeurs, éfleurant de cette chaleur, l'ardent créateur de bribes d'humanité,

Il se pare de l'audace de l'espoir, de l'allégresse de ses songes candides certe mais poutant splendide,

Il danse en lui la flamme du monde et ne pourra périr car sa lumière éblouie son âme...

Le jour de la nuit...

Le jour de la nuit,

Il en aura fallut des orages pour éclairer les jours de saveurs onctueuses et savoureuses,

Il en aura fallut des peines et de ces silences suaves de consistance,

Pour laisser couler la vie sans résistance,

Imprégner l'instant de ces eaux profondes qui donnent vie au jour de la nuit

De la chair des flots nait le reflet du monde qui s'incarne à l'étendue des eaux

De l'incertain nait le surface de l'éternité, en acte sacré,

Ces étincelles épurent le poids du monde et ralentit son souffle pour stagner dans l'immuable instant, en aspiration féconde, en inspiration profonde,

A coeur découvert, l'étincelle dévoile la pudeur féconde

Elle est le reflet de l'âme dans son cycle bercée par les ondes,

Son coeur vogue au lie des cieux et dévoile la nudité des entraves du monde

Boussole des nuits, étendue nocturne en pure alchimie,

Elle est là, a tanguer de l'instant en intuition charnelle

Son coeur bat à la surface de l'éternelle

En intime confluence de deux âmes qui savent sans s'être étreintes

Avant que le court reprenne sa vie, ce furtif regard a la profondeur de cet empreinte,

En caresse de  la densité légère des eaux, de sa pronfondeur sans contour, de sa présence sans détour

Nait ce silence juste car aucun mot ne peut ici assumer la densité de l'instant

Aucune parole ne peut dessiner le contour du moment...

Amarer ses éclipses au creu d'un cocon de plasma délicat,

Apesenteur de l'instant en foetus dansant dans ses entrailles maternelles, intemporelle,

Elle est là, a effleurer l'âme recouverte des eaux en mise en lumière de son essentiel

Éclairée du "jour de la nuit"... A l'infini ...

L'étreinte du désert...

L'étreinte du désert,

Ici l'embrassement d'étoiles entretiennent l'espoir,

Ici l'attisement de l'horizon se laisse sensuellement irradier de vibrations,

Perdue dans ce coin du monde ou le moindre souffle à sa noblesse,

Pupille du passé quand chacune de mes traces s'effacent avec délicatesse,

En contemplation d'un rien  à perte de vue, de mon corps mis à nue,

Loin des chimères, des tentative de plaire,

Tu irradies mes cieux, dépouillée devant ton éternité, tu étreint mon âme de ton immensité

Echappées des jours qui se défillent même en péril,  tu demeures impassible,

A l'écoute de tes silences empli d'affectivité, de dense sensualité,

En résistances de folies modernes, tu accumules les pépites d'émotions, archives les battements du monde, ses espoirs, ses déboires,

Tu reflètes mes jours, bordes mes nuits,

Loin du confort, tu fait le choix de l'effort,

Tu épouses chacun de mes mouvements, sans différences, en confluences,

En évasion du monde, tu pénètres chacun de ses pores,

Et dans mon âme tu crépites encore,

Carressant chacun des vivants, estompant chaque mouvement,

Ainsi hier s'éfface et demain n'aura de trace,

Paré d'audace, de grâce, cette chaleur me couvre d'apensanteur,

Tu errotises  la valse de l'errance,

Ici réside chaque particule d'un tout sans discordance, en resonnance,

Plus une frontière ne se dresse, tes poussières dansent en terre sacrée...

Ne serais-tu le secret des defuns de l'humanité qui s'étreingent  en poussière d'éternité?

 

L'éclat du chaos...

Veuillez m'excuser de ces silences,

J'étais afféré à ne pas me laisser mourir,

A fortifier ma vie en moments de grâce,

Et cueillir mes rides comme affinage...

...

Elle pri un éclat du chaos du monde en pleine âme,

En caressant le poul du vivant.

Ici le sens de l'humanité se sacralise de l'insignifiant.

En amante des cieux dessinant les contours d'embruns charnels,

Derrière sa crasse se révèle d'indélébiles étincelles.

Elle fais offrande de ce qui lui est le plus chaire,

En ébauche d'une alchimie qui ne pourrait que s'abimer à être ceuillie.

Préserver le précieux de ce qui a été sublimé, en étoffe d'une vie,

Pour que cette délicatesse soit abritée.

Elle confesse sa douceur même décharnée,

En raffinement du sacré de l'innocence, pourtant amèrement déflorée.

De cette instant long d'une éternité,

Elle apprends à marcher sans tuteur à désirer,

Elle faillit à caresser le jour, à nier la brume et ses détours,

Elle s'abandonne guidée par l'écriture de l'instant, de subtils étonnements,

Drapée de ses rêves, elle écaille le ciel pour s'en tapisser,

Assoupie au creu d'une brise, territoire invisible, découverte sensible,

Elle couve son coeur dont une larme d'espoir s'ébauche,

Elle s'évapore en exil d'un sentiment pudiquement difut,

Suspendue au creu du monde, juste ici à l'infini...

Le reflet de l'âme...

Le reflet de l'âme...

 

 Il y a de ces poésies au monde à la saveur d'un émerveillement,

De ces densités de silences emplis d'embruns de vie,

De ces pelures d'âme parées d'une grâce subtile...

 

J'y fais offrande de douceur au coeur d'une souvereineté emplie de repentis,

Prenant soin du précaire en étreinte d'un éclat délicat,

Eclipse du sublime insignifiant, reflet de soi,

J'y cultive l'amour donnant en récolte l'offrande de caresses,

Emancipé d'un au delà de ténèbres, éclos des étincelles de vie,

Bordées de frissons de chair, de prières à l'univers,

Une délivrance d'essence de l'être,

La rosée de suaves journées se pose en voile d'étreintes,

L'âme en racine, confidente des plénitudes, semence de bonté en béatitude,

L'âme épuré de labeur qui renait chaque jour au crépuscule,

La grâce en offrande d'intuition de l'instant paré d'un voile de nudité,

L'inapercue du monde en comtemplation de l'aube,

Le reflet de l'âme en caresse d'une source d'humanité...

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